Le coach est, à travers sa pratique, confronté au rapport au corps, son propre corps et celui de l’autre. Pour un coach comme pour tous praticiens de l’accompagnement, il est fondamental de bien se connaitre, d’avoir conscience de soi. La conscience de soi nourrit notre posture, elle enrichit la relation à l’autre, car nous avons conscience de ce qui se joue dans l’interaction.
Cette conscience de soi nourrit nos vraies valeurs existentielles et consolide notre confiance et notre estime de soi. C’est en cela que la sophrologie, par son approche holistique, s’inscrit comme une méthode utile à l’hygiène du coach, pour se ressourcer, se centrer, développer ses capacités de concentration, se protéger, se « nettoyer ».
Quelle conscience avons-nous de notre corps ? De notre schéma corporel, de sa posture, de sa respiration, de sa structure interne et externe ? Quelle conscience avons-nous de notre être, de notre existence, de nos vraies valeurs ?
Quels liens, quelles relations entretenons-nous avec notre propre corps ? Le silence, la musique intérieure, la détente, la décontraction, l’espace-temps et l’espace-mouvement, la limite du corps, la limite de la conscience etc...